Deux frères -- Dubmatique (Série Qc)

Deux frères
Dubmatique

Refrain:
Deux frères, deux sens contraires,
Deux univers, deux caractères,
Deux frères, ca restent deux frères.
Deux frères, deux sens contraires,
Deux univers, deux caractères,
Deux frères, ca restent deux frères.


Ils sont comme deux frères,
Deux frères de même mère,
Deux frères de même père,
Deux frères prêt à croiser le fer.
Plongés dans leurs chimères,
Tentant d’y voir plus clair,
Une mèche allumées sous leur nez,
C’est clair, tout peut exploser.
Voyez, comme deux frères peuvent se batailler,
Conflit de personnalité,
Surtout besoin d’être écouté.
Un frère c’est comme un ami sur qui tu peux compter,
Sur les doigts de la main, tu peux les compter.
Plus que jamais, deux frères peuvent se déchirer,
S’obstiner,
Un mur se dresser,
Lumière contre obscurité,
Dualité à surmonter.
Après les années retrouvées,
Voyez comment deux frères peuvent s’affectionner comme des protégés,
Mais les comparés c’est comme le jour et la nuit vous verrez,
Vie éparpillée, parents divorcés
Famille à moitié reconstituée¸
Problème évident à paumer,
Entre deux frères tout peut arriver.

Refrain

Discordes innachevées,
Tensions vives sur deux rives,
Deux frères peuvent être comme "l’épaule" d’aimant qui s’active.
Allant jusqu’à refuser de s’adresser la parole,
Rien ne va plus, les jeux sont fait, à la maison, à l’école.
Où est passé le respect des aînés?
De ceux qui nous ont vu grandir, pleurer,
Se cacher pour lire les points fermés,
Rêver d’un avenir,
Dans un souvenir,
Pour tous ceux qui on pu nous chérir,
Tandis que l’un connaît le succès,
Pour l'autre la roue de la fortune à tourner,
Abandonner-le, vous verrez,
Dans la souffrance, frustration,
Depuis l'enfance,
Un frère perds son adolescence dans la violence,
Embarquer dans un taxage,
Pire que les temps en place,
La couleur d'ébène, gang à fait sa place,
Dans les sacs, se cachent des haches,
Canifs ou cutter,
Les jeunes ont changé de vocabulaire.

Refrain

Je le résonne, la rue t'emprisonne, soigner le mal par le mal n’est pas le bon choix.
Je le résonne, soigner le mal par le mal…
Je le résonne, la rue t'emprisonne, soigner le mal par le mal n’est pas le bon choix.
Je le résonne, soigner le mal par le mal…